Si la vie était une queue de chaises rouges, pardonner
par le diable et excusez par l’amour, on serait libre
de créer le film de la fin de drame, de désolation, de peur,
de craînte et de la solitude. On serait libre comme la
respération de la lune, on se baignerait en bonheur.
par le diable et excusez par l’amour, on serait libre
de créer le film de la fin de drame, de désolation, de peur,
de craînte et de la solitude. On serait libre comme la
respération de la lune, on se baignerait en bonheur.
Si la vie était un écran dans une théatre, personne
souffrirait, personne aurait faim, personne pleurait.
Les oiseaux chanteraient chaque jour une chanson
d’espoir et de gloire d’amour.
souffrirait, personne aurait faim, personne pleurait.
Les oiseaux chanteraient chaque jour une chanson
d’espoir et de gloire d’amour.
Donc taisons-nous. Cela vaut mieux que de parler
des mots tristes, ou de se plaindre qu’il pleut
partout. Apprenons l’art de la pause, d’écouter
l’un et l’autre ou de vraiment voir ce qui
est devant vous. Soyez optimiste, au lieu de regarder
que des films en noir et blanc. Regardons le film de la vie
qu’on souhait, rêvons et tout sera parfait.
des mots tristes, ou de se plaindre qu’il pleut
partout. Apprenons l’art de la pause, d’écouter
l’un et l’autre ou de vraiment voir ce qui
est devant vous. Soyez optimiste, au lieu de regarder
que des films en noir et blanc. Regardons le film de la vie
qu’on souhait, rêvons et tout sera parfait.
© Joyce Willemse
Stadsdichter 2015-2016
Op 17 november 2016 opende Mieke van Dijk (directrice van de bibliotheek Veenendaal) het derde Veense Filmfestival in Spectrum. Stadsdichter Joyce Willemse droeg haar steentje bij met dit door haar in het Frans geschreven en daar voorgedragen gedicht.